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Recherche par lecteur : Marie-Paule Pineau

1705 résultats. Page 86 sur 86.

Lu par:Marie Julien
Durée:8h. 5min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:22153
Résumé: " Je crois, pour ma part, qu'on reste trop longtemps partout. Chez ses parents, chez ses amis, chez les femmes qui vous aiment... Plus qu'aucun autre, un journaliste doit savoir s'éloigner. " Telle était la philosophie de Georges de Caunes, ce digne héritier d'Albert Londres et de joseph Kessel, ses modèles. Pionnier parmi les pionniers, il fut avec Sabbagh, Tchemia ou Sallebert, le présentateur vedette du journal télévisé, aux temps héroïques, quand le petit écran ne proposait qu'une seule chaîne. Mais ce reporter impertinent, aussi à l'aise à la radio qu'en presse écrite, élégant et séducteur, avec son physique à la Cary Grant, ne restait jamais bien longtemps assis dans son fauteuil. Il préférait prendre le large à la recherche de nouveaux horizons, toujours accompagné de son fidèle chien Eder. Incorrigible aventurier, il a participé aux Expéditions polaires françaises menées par Paul-Émile Victor au Groenland, a traversé l'Amazonie, s'est aventuré au Mexique et, tel Robinson, s'est imposé cent dix-huit jours sur l'île déserte et hostile d'Eiao dans les Marquises. Son exploit le plus exceptionnel. Au fil des témoignages des femmes qu'il a aimées, Benoîte Groult, Jacqueline Joubert et Anne-Marie Carmentrez, ou de ses cinq enfants, Blandine, Lison, Antoine, Marie et Pierre, se dessine aussi un personnage mélancolique. Cet homme, qui affichait une belle assurance et un humour dévastateur en public, restait très secret en privé. La disparition prématurée du père ainsi que des années d'études chez les jésuites ne sont peut-être pas étrangères à cette réserve... Il n'en fut pas moins un mari et un père aimant, et, malgré ses fêlures intimes, toute la famille est fière d'avoir porté ou de porter un nom, synonyme d'indépendance d'esprit, d'humour et de modernité. Vincent Rousset signe la première biographie de ce monstre sacré du journalisme. Un portrait d'une grande sincérité, qui s'appuie sur les longs entretiens qu'il a menés avec Georges de Caunes et s'enrichit des témoignages de ses proches, comme de ses éminents collègues tels que Pierre Tchernia ou Michel Drucker. Georges de Caunes est mort le 28 juin 2004 à La Rochelle, où il avait jeté l'ancre depuis vingt ans.
Durée:13h. 52min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:25489
Résumé: Vous qui entrez ici, laissez toute espérance. Ce livre est une autopsie : celle de nos sociétés saisies par la barbarie. En 2006, après des mois de coups tordus et d'opérations avortées, une petite bande de banlieue enlève un jeune homme. La rançon exigée ne correspond en rien au milieu plutôt modeste dont ce dernier est issu. Mais le choix de ses agresseurs s'est porté sur lui parce que, en tant que Juif, il est supposé riche. Séquestré vingt-quatre jours, soumis à des brutalités, il est finalement assassiné. Les auteurs de ce forfait sont chômeurs, livreurs de pizzas, lycéens, délinquants. Certains ont des enfants, d'autres sont encore mineurs. Mais la bande est soudée par cette obsession morbide : Tout, tout de suite. Morgan Sportès a reconstitué pièce par pièce leur acte de démence. Sans s'autoriser le moindre jugement, il s'attache à restituer leurs dialogues confondants d'inconscience, à retracer leur parcours de fast-foods en cybercafés, de la cave glaciale où ils retiennent leur otage aux cabines téléphoniques d'où ils vocifèrent leurs menaces, dans une guerre psychologique avec la famille de la victime au désespoir et des policiers que cette affaire, devenue hautement ´ politique, met sur les dents. Indigence intellectuelle et morale au milieu de l'indigence architecturale et culturelle : il n'y a pas de mot pour décrire l'effroyable vide que la société a laissé se creuser en son sein, et qui menace de l'aspirer tout entière. Pas de mot. Il fallait un roman. Il y a vingt ans, Morgan Sportès signait L'appât, roman dont l'adaptation au cinéma par Bertrand Tavernier reçut l'Ours d'or à Berlin.
Lu par:Marie Julien
Durée:6h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22274
Résumé: En même temps que le vieil Enrique, fameux maquignon ayant marqué son époque, c'est tout un monde qui s'éteint sur ce parking du Sud de la France: celui des tziganes. Relégués dans ce camp à l'écart de la ville, ils sont une cinquantaine de familles qui attendent la dernière heure de leur doyen. Débarquant de toute l'Europe à bord de leurs caravanes et de leurs camping-cars, les innombrables membres du clan dispersé les rejoignent au fil des jours pour un ultime hommage au patriarche. Parmi eux, Agustin, mi-fakir, mi-chaman, et sa fille, Antucha, qui vont profondément bouleverser la vision que Bartolomé, le gardien du camp, se fait du monde. Mais cette soudaine concentration de voyageurs va bientôt réveiller, autour du camp, l'hostilité et le racisme latents. Entre des cultures et des modes de vie si différents, le conflit paraît inévitable. Dans ce livre d'une grande puissance romanesque, Marc Trillard (prix Interallié 1994) continue son exploration du monde des hommes en marge et autres insoumis magnifiques. Écrivain rare, exigeant, il fait avec De sabres et de feu son grand retour au roman.
Durée:2h. 31min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:25425
Résumé: L'auteur nous explique tout d'abord ce qu'est réellement ce magnétisme que nous possédons tous. Ce véritable cours pratique apprendra au lecteur à développer ses dons et à soigner et soulager divers maux tels que : maladies respiratoires, maladies du système nerveux, les rhumatismes, les troubles de la vision et de l'audition, etc.
Durée:3h. 39min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22621
Résumé: Quand j'ai commencé à dire autour de moi que j'écrivais ton histoire, l'histoire de ma nounou qui avait une jambe de bois, qui ne s'était pas mariée et qui n'avait jamais eu de bébés, certaines personnes ont répondu que ça manquerait peut-être un peu de sexe, pour le goût du jour... Faut reconnaître ! L'histoire est là. Elle ne manque pas de sel, au moins... Maintenant, je dois t'abandonner aux mains d'amis inconnus. Il est grand temps, pour eux aussi, d'avoir enfin leur Nanie.